16 novembre 2009
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12:00
Levraoueg , par ailleurs animatrice du challenge 1% rentrée littéraire m'a envoyé ce livre voyageur pour que je le lise et puisse en faire ensuite un article.
Je dirai d'entrée de jeu que je ne le classe pas en 3/7 dans le cadre du challenge 1%, si Levraoueg est d'accord avec moi (je le garde en "joker si d'aventure je n'atteignais pas le quota de 7 livres lus d'ici à juillet prochain).
Car en effet, je dois dire que j'ai été déçu par ce livre et pourtant je connaissais cette collection dont j'ai quelques titres depuis de longues années. C'était d'ailleurs la raison de mon envie de lire ce texte.

J'ai mis le lien de l'article de Levraoueg en début d'article. J'avoue qu'elle a fait une analyse très fine et remarquable. Je suis pour ma part passé au-dessus de certaines subtilités du texte. J'admets qu'il est intéressant pour son originalité. Alors, pourquoi ce mauvais sentiment sur ce livre? je ne le sais pas trop.
J'ai lu par le passé des textes tout autant difficiles dans les collections "Textes" ou "Digraphe" chez Flammarion.
Mais c'est peut-être parce que je dois en faire une chronique que l'inspiration manque.
Jocelyn Bonnerave associe souvent ses activités musicales et littéraires dans la pratique de la "performance", ce qui explique, bien sûr, son style qui peut être "classique" avant de partir vers certaines "divagations".
Généralement, je ne parle ici que de livres qui m'ont plu car je n'aime pas dire mes déceptions, chacun devant pouvoir juger de lui-même de l'intérêt ou non d'un livre.
Alors, bonne lecture tout de même, si vous avez envie de suivre l'anthropologue A. au pays des états-uniens, en observation dans le monde des musiciens marginaux.
Denis
Je dirai d'entrée de jeu que je ne le classe pas en 3/7 dans le cadre du challenge 1%, si Levraoueg est d'accord avec moi (je le garde en "joker si d'aventure je n'atteignais pas le quota de 7 livres lus d'ici à juillet prochain).
Car en effet, je dois dire que j'ai été déçu par ce livre et pourtant je connaissais cette collection dont j'ai quelques titres depuis de longues années. C'était d'ailleurs la raison de mon envie de lire ce texte.

J'ai mis le lien de l'article de Levraoueg en début d'article. J'avoue qu'elle a fait une analyse très fine et remarquable. Je suis pour ma part passé au-dessus de certaines subtilités du texte. J'admets qu'il est intéressant pour son originalité. Alors, pourquoi ce mauvais sentiment sur ce livre? je ne le sais pas trop.
J'ai lu par le passé des textes tout autant difficiles dans les collections "Textes" ou "Digraphe" chez Flammarion.
Mais c'est peut-être parce que je dois en faire une chronique que l'inspiration manque.
Jocelyn Bonnerave associe souvent ses activités musicales et littéraires dans la pratique de la "performance", ce qui explique, bien sûr, son style qui peut être "classique" avant de partir vers certaines "divagations".
Généralement, je ne parle ici que de livres qui m'ont plu car je n'aime pas dire mes déceptions, chacun devant pouvoir juger de lui-même de l'intérêt ou non d'un livre.
Alors, bonne lecture tout de même, si vous avez envie de suivre l'anthropologue A. au pays des états-uniens, en observation dans le monde des musiciens marginaux.
Denis
Marie 16/11/2009 23:08
DENIS 17/11/2009 22:22
Eliane 16/11/2009 16:14
DENIS 16/11/2009 20:42